Titre : L’école des films
Traduction : Sophie Cardinal-Corriveau
Éditeur : Bibliothèque québécoise
Parution : 2011
Format : 248 pages
Résumé :
Un père, constatant les difficultés scolaires de son fils, lui permet de décrocher l’école à la condition de regarder trois films par semaine avec lui.
Ce que j’ai aimé :
-L'écriture de ce roman est fluide, simple et agréable. Cette histoire, touchante et intimiste, raconte de manière naturelle comment un père se servira du cinéma pour développer un lien profond avec son fils.
-Ce récit met en relief l'amour, le respect et l'attention que le père porte à son garçon. Il est très sensible à son non-verbal, à ses réactions. On sent leur complicité. Deux hommes, un peu rebelles dans l'âme, qui se ressemblent.
-À travers les peines d’amour de son adolescent, le père se remémore les femmes qui ont marqué sa vie. Comme quoi les enfants permettent aux parents de se redécouvrir, en revivant des souvenirs passés. Il y a aussi un très beau passage à Cuba, qui exprime l'atmosphère du pays et la nonchalance bienheureuse des vacances.
-Ce livre nous rappelle l'importance du temps qu'on passe avec nos proches et la valeur unique de la transmission entre les générations. C'est un roman sur l'amour : l'amour qui part et qui revient, celui qui dure.
-J'ai assisté à un café littéraire avec David Gilmour lors des Correspondances d'Eastman, l'été dernier. C'est un auteur qui m'avait marquée par son calme et son humour. Je suis bien contente que son bouquin soit à son image : vrai, sympathique et sans prétention.
Extraits favoris :
« Passé un certain âge, on n’a plus souvent l’occasion de faire ce genre de chose pour nos enfants; on a ce feu en nous, et presque rien à faire avec. »
« Nous aurons encore du temps, Jesse et moi, mais plus de cette manière, plus de ce temps monotone, parfois ennuyant, qui est la vraie signature de ce que c’est de vivre avec quelqu’un, un temps que l’on croit éternel et qui, un jour, tout simplement, s’arrête. »
« Le ciel avait maintenant pris une teinte riche, bleu sombre, une ligne rouge courant à l’horizon. Tant de beauté extraordinaire, j’ai pensé, partout dans ce monde. »
« C’était une journée étrangement belle, au soleil aveuglant, les arbres nus, les nuages traversant le ciel à la hâte. Une journée irréelle. »
Traduction : Sophie Cardinal-Corriveau
Éditeur : Bibliothèque québécoise
Parution : 2011
Format : 248 pages
Résumé :
Un père, constatant les difficultés scolaires de son fils, lui permet de décrocher l’école à la condition de regarder trois films par semaine avec lui.
Ce que j’ai aimé :
-L'écriture de ce roman est fluide, simple et agréable. Cette histoire, touchante et intimiste, raconte de manière naturelle comment un père se servira du cinéma pour développer un lien profond avec son fils.
-Ce récit met en relief l'amour, le respect et l'attention que le père porte à son garçon. Il est très sensible à son non-verbal, à ses réactions. On sent leur complicité. Deux hommes, un peu rebelles dans l'âme, qui se ressemblent.
-À travers les peines d’amour de son adolescent, le père se remémore les femmes qui ont marqué sa vie. Comme quoi les enfants permettent aux parents de se redécouvrir, en revivant des souvenirs passés. Il y a aussi un très beau passage à Cuba, qui exprime l'atmosphère du pays et la nonchalance bienheureuse des vacances.
-Ce livre nous rappelle l'importance du temps qu'on passe avec nos proches et la valeur unique de la transmission entre les générations. C'est un roman sur l'amour : l'amour qui part et qui revient, celui qui dure.
-J'ai assisté à un café littéraire avec David Gilmour lors des Correspondances d'Eastman, l'été dernier. C'est un auteur qui m'avait marquée par son calme et son humour. Je suis bien contente que son bouquin soit à son image : vrai, sympathique et sans prétention.
Extraits favoris :
« Passé un certain âge, on n’a plus souvent l’occasion de faire ce genre de chose pour nos enfants; on a ce feu en nous, et presque rien à faire avec. »
« Nous aurons encore du temps, Jesse et moi, mais plus de cette manière, plus de ce temps monotone, parfois ennuyant, qui est la vraie signature de ce que c’est de vivre avec quelqu’un, un temps que l’on croit éternel et qui, un jour, tout simplement, s’arrête. »
« Le ciel avait maintenant pris une teinte riche, bleu sombre, une ligne rouge courant à l’horizon. Tant de beauté extraordinaire, j’ai pensé, partout dans ce monde. »
« C’était une journée étrangement belle, au soleil aveuglant, les arbres nus, les nuages traversant le ciel à la hâte. Une journée irréelle. »
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