N'aie pas peur maman
La nature me rend meilleur
Parfois le vent vient faire son tour
C'est à ce moment que les feuilles disent des choses
Je fais comme les arbres
J'écoute
Robin Aubert - Entre la ville et l'écorce
Source image : Rebecca Green
Oh, merci Topi ! Je crois que nous faisons de la « télélittératuropathie » :-) Ces quelques mots de Robin Aubert viennent admirablement bien faire écho à « La lettre à Helga » dont je viens de terminer la lecture.
RépondreSupprimer« Entre la ville et l'écorce » . Ce titre en dit lui aussi tellement. L'attraction de la ville, le besoin de la nature... L'équilibre qu'il nous faut trouver entre les deux...
Je vais me procurer ce recueil. Merci et très beau mardi ! Bises
On est au diapason :) J'ai choisi ce poème, car j'ai l'impression de tendre l'oreille à la nature qui se prépare tout doucement sous la neige. Ces jours-ci, j'ai une envie de verdure et de fleurs :)
SupprimerOui, le recueil de Robin Aubert, c'est tout à fait ça ! Son amour des animaux et de la campagne me rejoint beaucoup :)
Ces mots me touchent particulièrement. Merci de ce très beau partage gentille dame .
RépondreSupprimerJe suis ravie que ces mots te parlent aussi. Il n'y a rien de faux chez Robin Aubert et cela se sent à travers sa poésie. Je crois que c'est un recueil qui pourrait te plaire, car il est beau et franc :)
SupprimerJ'aie beaucoup ces rdv poétiques !
RépondreSupprimerCe sont de petites bulles de joie à s'offrir ! J'adore aussi :)
Supprimer